« Quelle ne fut pas ma stupeur, de voir, quand l’astre roi surgit enfin, qu’il était entièrement tacheté de cette même étrange couleur »
Les deux survivants posent le pied sur l’île et s’approchent de gigantesques grottes inhospitalières. Ils décident tout de même de s’y aventurer.
Toine s’aventure aux confins de l’île et y découvre des endroits aussi magnifiques que terrifiants.
« Le dégoût n’est-il pas le commencement de l’acceptation ? Si l’acceptation est fatale aux gens normaux, elle est logique pour ceux qui restent muets face aux questions qui pourraient les sauver. »
Pendant que le jeune mousse dormait, Toine fut interpelé par un bruit étrange dans la forêt toute proche. C’est avec étonnement qu’il s’aperçut que tous les arbres de la forêt se courbaient face à une imposante montagne visible à l’horizon.
« Cette nature qui se ronge d’elle même, ne peut pas comprendre ce qui peine les âmes. Ni Dieu, ni le Diable ne s’amuserait à une telle comédie. »
Toine et le jeune mousse cherchent un récipient leur permettant de transporter de l’eau pour la suite de leur périple. Ils se décident à retourner dans les grottes mystérieuses…
« Allez, partons chercher l’eau, va ! Et aimons la vie, je crains qu’on n’en ait plus beaucoup le temps! »