
1940 – Les psychiatres constatent beaucoup de réactions psychiques aigues suite aux bombardements et torpillages de navires. Rien de réellement prévu pour la prise en charge des soldats.
- Sur le terrain : on leur donne de l’alcool et on les rassure
- Si hospitalisés : ils traitent l’épuisement et l’anxiété par « narco-analyse barbiturique». Les hospitalisations sont rares
1943 – Les psychiatres ne tiennent pas compte des expériences de la première guerre mondiale et qualifient largement les traumatismes de guerre de « fatigue ».
On repart donc à zéro, ce qui engendre une nouvelle perte de temps considérable sur la prise en charge des personnes touchées. De toute façon, l’idée principale est de faire revenir les soldats au combat le plus vite possible. Ils sont donc en général pris en charge sommairement.
