Une très belle chronique sur la Montagne Morte de la Vie et ils ont déchiré son image à découvrir dans le webzine Un dernier livre avant la fin du monde (undernierlivre.net), dont un extrait ci-après :
« La montagne morte de la vie » ainsi que « Ils ont déchiré son image… » sont aussi un éloge à la nature, à sa puissance implacable et sa beauté quasiment hypnotique. Michel Bernanos l’enchante, la magnifie et la rend cruelle à la fois, lui donnant une sensation de puissance implacable, remettant ainsi l’Homme à sa place, comme un pion au mieux indésirable, dans ce gigantisme végétal qui parcours les deux textes.
C’est un texte fascinant, où il y a énormément de choses à dire, l’influence de son adolescence au Brésil, sur le texte par exemple, ou encore son écriture faussement simpliste, sans même parler de la puissance symbolique sur toute la dernière partie. Lire le texte de Michel Bernanos c’est plonger dans un univers grandiose, fantastique et cruel à la fois, qui vous prendra aux tripes et restera longtemps gravé dans votre mémoire.
Indéniablement un grand texte, dépassant le cadre du fantastique pour s’inscrire durablement parmi les grandes œuvres littéraires du vingtième siècle.