Un voyageur étrange s’arrête dans une petite ville dirigée par un Marquis prêt à toutes les horreurs possibles afin d’assouvir ses désirs.
Les habitants sont sous ses ordres. Il semblerait qu’ils ne se rendent aucunement compte des atrocités commises, toute forme de morale y est inexistante.
Ces habitants ne réfléchissent plus par eux-mêmes, la parole et les ordres du Marquis sont d’or.
L’étrange voyageur, prenant parfaitement l’aspect du diable, semble dépassé par les évènements, la cruauté humaine allant au-delà même de ce qu’il représente.
PRECEDENTES PUBLICATIONS :
La montagne morte de la vie, suivie de ils ont déchiré son image, Préface de Juan Asensio, L’Arbre Vengeur, 2017, 219 p.
Editeurs : L’Arbre Vengeur, Fleuve Noir Editions
CRITIQUES LITTERAIRES :
« Le ton est celui du conte à la fois poétique et inquiétant, et, comme tous les contes, celui-ci comporte une morale : le diable caché dans son apparence humaine a pu constater que les hommes étaient encore pire que lui. » Jacques de Ricaumont, La Revue des Deux Mondes